Durant la mauvaise année 2018, mon utilitaire, un kangoo tout aménagé pour le travail est tombé en panne suite à des allers/retours entre Paris et Pamiers (problèmes de famille).
Le lendemain d'un de ces longs trajets, je démarre et clac clac clac clac clac clac...
Un sale bruit de mécanique qui part en vrille.
Nullement mécanicien, même amateur, cette expérience m'a conduit à y mettre les deux mains.
Après d'âpres recherches sur l'origine du bruit dans le véhicule et sur le net, le couperet tombe avec ses conséquences. Je serais face à un problème de coussinet de bielle...
C'est un coup dur, car j'avais envisagé de reprendre mon activité à mon compte, ayant atteint l'âge fatidique des 40 ans. Les aléas de la vie et de la mort m'ont pas enrichi cette année là, plus de congés payés, obligé de prendre des congés sans solde et surtout, de trouver des sous et une voiture pas trop cher pour me dépanner. La banque d'Etat me propose, après m'avoir fait poireauter quelques semaines, 1 euro de crédit à 6.5% pour quelqu'un comme moi avec un CDI. Moins t'as de fric et plus on t'écrase, c'est le système du capital, la loi du plus fort. Finalement, et heureusement pour moi, on m'a prêté de l'argent à taux zéro. Voilà pour la petite histoire.
Car mon Kangoo, je vais en avoir besoin. Et investir des petites sommes tout au long des mois à venir, ça je peux le faire. Le diagnostic vital est tout de même engagé. Il faudrait changer le moteur et même l'embrayage qui montre des signes de faiblesses avec une pédale qui vibre de plus en plus.
Pas le choix, pas de tune, je tente la réfection des coussinets de bielle, ayant récupéré chez mon défunt père une grue d'atelier pour lever le moteur. Mon cher père, qui avait toujours une voiture à réparer, il avait la mécanique pour passe-temps.
Disons le tout de suite, le travail d'apprentissage est continu, intense, soutenu... Les innombrables pages web consultées, la RTA du véhicule (pas si utile que ça, quand on est un novice), les petits truc et astuces pour le montage et le démontage... C'est pas simple, il faut être un peu fada pour se lancer dans une telle aventure. Mais bon, à 197 000 km, c'est à la fois jouable et en l'état, invendable.
Parmi les mésaventures rencontrées, il y a la recherche des coussinets via la référence moteur... Trois coups de tournevis bien positionné sur les chiffres et les lettres, qui en disent long sur le véritable kilométrage de celui-ci. J'ai cru m'arrêter là lorsque je me suis rendu compte de la supercherie. Et finalement, j'ai insisté, les coussinets à 30 euros sont passés à 80 euros chez renault, les seuls à pouvoir me trouver la référence, malgré la sollicitation de 4 fournisseurs de pièces auto. A ce stade, je ne peux plus faire marche arrière ou laisser tomber l'opération. Alors j'injecte du pognon et du pognon dans ce kangoo.
Très serré niveau budget, je décide également de changer le démarreur, un peu fatigué, qui est très difficile d'accès, par un d'occasion dans l'espoir de ne pas avoir à y retoucher. Très mauvais choix, le démarreur d'occasion ne marchait pas...De longues heures à démonter, à faire un bon démarreur avec les deux et à remonter. La batterie aussi a été changée par une d'occasion, depuis le temps, elle ne tenait plus la charge.
Mais finalement, le remontage se passe plutôt bien. La mise à niveau des fluides est un peu délicate ( faire quelques kilomètres, puis remettre à niveau jusqu'à équilibre, enfin s'est comme ça que j'ai fait) L'achat d'une bonne clé dynamométrique s'avère indispensable. Une fois démarré, le son de clac clac clac avait disparu. Il faut dire qu'ils étaient bien usés les coussinets, à la fois écrasée donc d'une épaisseur moindre et pour les plus fatigués, avec le cuivre à nu. Du cuivre, les coussinets sont fabriqués avec du cuivre, c'est beau pour un plombier de le découvrir.
Du coup, le coussinet n'est plus collé contre la bielle, d'où le clac clac clac.
Mais l'année 2018... je réassure le véhicule pour le mettre à l'essai et lui faire passer le contrôle technique. Dans un premier temps, je suis content car il revit, l'opération est, pour le moment, un succès. Dans un second temps, je comprends assez vite que mon embrayage va me poser problème. la pédale d'embrayage vibre de plus en plus et un autre petit son commence à surgir du kangoo tic tic tic... Et oui, ce n'est pas fini, et le néophyte de la mécanique doit bien faire rire celle et celui qui comprend où j'en suis.
Pour commencer, je le passe au contrôle technique. Une demi heure avant, j'enlève la chambre à air qui tenait mon pot d'échappement par la pièce adéquate ( j'allais presque oublier). La nouvelle pièce en caoutchouc n'a pas, d'un point de vue acoustique, trouvé sa forme de croisière. Du coup, elle manque un peu d'élasticité et à l'accélération mon pot d'échappement touche le châssis, lui donnant un bruit de pot de compétition ou peut-être de pot de chambre. Bref, au contrôle, je suis recalé pour un soufflet de direction, le contacteur de ma pédale de frein, la plaque d'immatriculation et la hauteur de mes feux... C'est pas trop mal.
Puis vint ce vendredi, où au détour d'un bureau de tabac, mon câble d'embrayage casse net. Le dimanche dans le froid, avec un nouveau, je change cette pièce qui n'est pas si évidente. Les vibrations s'intensifient, si rien n'est fait, d'autres pannes vont s'accumuler. J'ai à peine de quoi me lancer dans cette nouvelle opération mécanique de grande envergure. L'expérimenté dira que j'ai été bien idiot de ne pas changer l'embrayage et sa butée quand le moteur a été déposé. Tout a fait...
En faite, en néophyte, je devais poursuivre mon apprentissage théorique en épluchant les forums, les vidéos, les données techniques... Comprendre et savoir, combien cela va me coûter et, en suis-je capable ? Ce travail en amont de l'intervention, s'était trop m'en demandé au stade des coussinets.
Le temps s'adoucit, et la pluie, certes menaçante, veille. C'est l'instant de vérité. Le jour J, je lance l'opération kit d'embrayage... Pour ce faire, le matin même, j'achète la RTA. C'est un cuisant échec, impossible de sortir l'embrayage du véhicule et la méthode proposée de la dépose du berceau m'inquiète. A la fin de la journée, en complétant mes recherches, je comprends qu'il me sera impossible de sortir l'embrayage par cette méthode qui nécessite un pont.
Sans le choix, il me faut ressortir le moteur pour réaliser le dépannage. C'est rapide, bien sûr, je m'en veux de ne pas l'avoir fait plus tôt. Une fois l'embrayage tombé, il me faut un temps de réflexion pour comprendre la différence de diamètre entre l'axe du support butée et de la butée. Il s'est avéré qu'à l'origine, il y avait une pièce sur l'axe de la butée. Cette pièce a disparu, envolé, parti à tout jamais. bref, le lendemain, je reçois la pièce et remonte l'ensemble sans grande difficulté.
Après quelques essais, et une remise à niveau des fluides, tout semble fonctionner correctement et ça fait plaisir. Deux jours plus tard, en sortant d'un bureau de tabac, le véhicule ne démarre pas, aucun contact, une guirlande de tous les voyants sur le tableau de bord avec stop moteur etc ; un mauvais moment pour certaines (ns), une véritable catastrophe pour le concerné. Forcément, je remets en question mon travail à la recherche d'une sonde mal enclenchée, d'un niveau incorrect, un défaut de sécurité du bouton de batterie, la batterie, les connectiques... rien n'y fait. Le bug. Après une nouveauté de circonstance, un jogging de peut-être 2.5 km, je prends quelques outils à la maison, ma petite mégane essence et j'étudie la panne. La tension de la batterie est bonne, toutefois, elle est mise en charge pendant 2 heures. A la repose, rien, toujours cette guirlande de noël. Même l'ouverture et la fermeture des portes est laborieux... Ca sent quand même la batterie tout ça. Alors je la change avec celle de ma mégane qui est moins puissante. Verdict, la guirlande s'arrête et le démarreur s'enclenche, bien qu'il ne démarre pas le véhicule. Une nouvelle batterie s'impose. Elles sont chers dans cet ampérage. C'est la même panne que pour mon bateau amorceur, une bonne tension, mais une batterie défectueuse. Mmmmh, il me faut comprendre comment diagnostiquer ça.
13 février 2019
Depuis quelques mois, l'activité est lancée avec ce kangoo. Ca marche a peu près bien. Problème de démarrage (1 fois sur 3), il ne démarre pas du premier coup et cela peut devenir stressant car j'ai compris qu'en insistant, le problème empire. Pour bien faire, lorsque je donne un coup de clé et qu'il ne démarre pas, j'arrête une minute (c'est long) et je réessaye. Dans la majorité des cas, cela marche. Mais le problème n'est pas résolu. J'ai changé la poire à côté du filtre à fioul, il y a apparemment un problème d'air dans le circuit. J'ai testé les bougies de préchauffage, l'une d'elle (déjà changé) n'est pas correctement vissée et me donne une valeur assez différente des autres. Comme je ne peux pas la visser davantage...dilemne. J'ai testé les injecteurs, l'un d'eux a un retour plus important que les autres mais cela ne m'a pas convaincu ( à 174 e l'injecteur... j'ai du mal à me lancer).
Après un autre problème est apparu. Parfois, une perte de vitesse de celui-ci, le kangoo n'avait plus de "pêche" et atteignait difficilement les 90 km en 4ième...
J'en avais marre de tous ces problèmes, je me suis résolu à voir deux mécanos pour passer la valise. Manque de bol, celle-ci était en mise à jour, ils m'ont conseillé de chercher au niveau de la vanne EGR. Alors, je l'ai nettoyée. Elle était effectivement dans un état très limite. Depuis ce problème me semble résolu, merci les gars d'AD.
Le 07/06/2019
Finalement, en mai 2020, je change de véhicule après un peu plus d'une année d'intense activité. Mon kangoo, m'a bien servi, il affiche 214000km au compteur et je n'ai plus eu de problème à part le souci du démarreur qui parfois, ne démarre pas. C'est occasionnel, j'ai pris l'habitude, on dirait que le problème est cyclique. Au bout de 50 démarrages nickel, il bloque un peu. Le problème n'a pas empiré, du coup, ce n'est pas une grosse panne.
Car mon Kangoo, je vais en avoir besoin. Et investir des petites sommes tout au long des mois à venir, ça je peux le faire. Le diagnostic vital est tout de même engagé. Il faudrait changer le moteur et même l'embrayage qui montre des signes de faiblesses avec une pédale qui vibre de plus en plus.
Pas le choix, pas de tune, je tente la réfection des coussinets de bielle, ayant récupéré chez mon défunt père une grue d'atelier pour lever le moteur. Mon cher père, qui avait toujours une voiture à réparer, il avait la mécanique pour passe-temps.
Disons le tout de suite, le travail d'apprentissage est continu, intense, soutenu... Les innombrables pages web consultées, la RTA du véhicule (pas si utile que ça, quand on est un novice), les petits truc et astuces pour le montage et le démontage... C'est pas simple, il faut être un peu fada pour se lancer dans une telle aventure. Mais bon, à 197 000 km, c'est à la fois jouable et en l'état, invendable.
Parmi les mésaventures rencontrées, il y a la recherche des coussinets via la référence moteur... Trois coups de tournevis bien positionné sur les chiffres et les lettres, qui en disent long sur le véritable kilométrage de celui-ci. J'ai cru m'arrêter là lorsque je me suis rendu compte de la supercherie. Et finalement, j'ai insisté, les coussinets à 30 euros sont passés à 80 euros chez renault, les seuls à pouvoir me trouver la référence, malgré la sollicitation de 4 fournisseurs de pièces auto. A ce stade, je ne peux plus faire marche arrière ou laisser tomber l'opération. Alors j'injecte du pognon et du pognon dans ce kangoo.
Très serré niveau budget, je décide également de changer le démarreur, un peu fatigué, qui est très difficile d'accès, par un d'occasion dans l'espoir de ne pas avoir à y retoucher. Très mauvais choix, le démarreur d'occasion ne marchait pas...De longues heures à démonter, à faire un bon démarreur avec les deux et à remonter. La batterie aussi a été changée par une d'occasion, depuis le temps, elle ne tenait plus la charge.
Mais finalement, le remontage se passe plutôt bien. La mise à niveau des fluides est un peu délicate ( faire quelques kilomètres, puis remettre à niveau jusqu'à équilibre, enfin s'est comme ça que j'ai fait) L'achat d'une bonne clé dynamométrique s'avère indispensable. Une fois démarré, le son de clac clac clac avait disparu. Il faut dire qu'ils étaient bien usés les coussinets, à la fois écrasée donc d'une épaisseur moindre et pour les plus fatigués, avec le cuivre à nu. Du cuivre, les coussinets sont fabriqués avec du cuivre, c'est beau pour un plombier de le découvrir.
Du coup, le coussinet n'est plus collé contre la bielle, d'où le clac clac clac.
Mais l'année 2018... je réassure le véhicule pour le mettre à l'essai et lui faire passer le contrôle technique. Dans un premier temps, je suis content car il revit, l'opération est, pour le moment, un succès. Dans un second temps, je comprends assez vite que mon embrayage va me poser problème. la pédale d'embrayage vibre de plus en plus et un autre petit son commence à surgir du kangoo tic tic tic... Et oui, ce n'est pas fini, et le néophyte de la mécanique doit bien faire rire celle et celui qui comprend où j'en suis.
Pour commencer, je le passe au contrôle technique. Une demi heure avant, j'enlève la chambre à air qui tenait mon pot d'échappement par la pièce adéquate ( j'allais presque oublier). La nouvelle pièce en caoutchouc n'a pas, d'un point de vue acoustique, trouvé sa forme de croisière. Du coup, elle manque un peu d'élasticité et à l'accélération mon pot d'échappement touche le châssis, lui donnant un bruit de pot de compétition ou peut-être de pot de chambre. Bref, au contrôle, je suis recalé pour un soufflet de direction, le contacteur de ma pédale de frein, la plaque d'immatriculation et la hauteur de mes feux... C'est pas trop mal.
Puis vint ce vendredi, où au détour d'un bureau de tabac, mon câble d'embrayage casse net. Le dimanche dans le froid, avec un nouveau, je change cette pièce qui n'est pas si évidente. Les vibrations s'intensifient, si rien n'est fait, d'autres pannes vont s'accumuler. J'ai à peine de quoi me lancer dans cette nouvelle opération mécanique de grande envergure. L'expérimenté dira que j'ai été bien idiot de ne pas changer l'embrayage et sa butée quand le moteur a été déposé. Tout a fait...
En faite, en néophyte, je devais poursuivre mon apprentissage théorique en épluchant les forums, les vidéos, les données techniques... Comprendre et savoir, combien cela va me coûter et, en suis-je capable ? Ce travail en amont de l'intervention, s'était trop m'en demandé au stade des coussinets.
Le temps s'adoucit, et la pluie, certes menaçante, veille. C'est l'instant de vérité. Le jour J, je lance l'opération kit d'embrayage... Pour ce faire, le matin même, j'achète la RTA. C'est un cuisant échec, impossible de sortir l'embrayage du véhicule et la méthode proposée de la dépose du berceau m'inquiète. A la fin de la journée, en complétant mes recherches, je comprends qu'il me sera impossible de sortir l'embrayage par cette méthode qui nécessite un pont.
Sans le choix, il me faut ressortir le moteur pour réaliser le dépannage. C'est rapide, bien sûr, je m'en veux de ne pas l'avoir fait plus tôt. Une fois l'embrayage tombé, il me faut un temps de réflexion pour comprendre la différence de diamètre entre l'axe du support butée et de la butée. Il s'est avéré qu'à l'origine, il y avait une pièce sur l'axe de la butée. Cette pièce a disparu, envolé, parti à tout jamais. bref, le lendemain, je reçois la pièce et remonte l'ensemble sans grande difficulté.
Après quelques essais, et une remise à niveau des fluides, tout semble fonctionner correctement et ça fait plaisir. Deux jours plus tard, en sortant d'un bureau de tabac, le véhicule ne démarre pas, aucun contact, une guirlande de tous les voyants sur le tableau de bord avec stop moteur etc ; un mauvais moment pour certaines (ns), une véritable catastrophe pour le concerné. Forcément, je remets en question mon travail à la recherche d'une sonde mal enclenchée, d'un niveau incorrect, un défaut de sécurité du bouton de batterie, la batterie, les connectiques... rien n'y fait. Le bug. Après une nouveauté de circonstance, un jogging de peut-être 2.5 km, je prends quelques outils à la maison, ma petite mégane essence et j'étudie la panne. La tension de la batterie est bonne, toutefois, elle est mise en charge pendant 2 heures. A la repose, rien, toujours cette guirlande de noël. Même l'ouverture et la fermeture des portes est laborieux... Ca sent quand même la batterie tout ça. Alors je la change avec celle de ma mégane qui est moins puissante. Verdict, la guirlande s'arrête et le démarreur s'enclenche, bien qu'il ne démarre pas le véhicule. Une nouvelle batterie s'impose. Elles sont chers dans cet ampérage. C'est la même panne que pour mon bateau amorceur, une bonne tension, mais une batterie défectueuse. Mmmmh, il me faut comprendre comment diagnostiquer ça.
13 février 2019
Depuis quelques mois, l'activité est lancée avec ce kangoo. Ca marche a peu près bien. Problème de démarrage (1 fois sur 3), il ne démarre pas du premier coup et cela peut devenir stressant car j'ai compris qu'en insistant, le problème empire. Pour bien faire, lorsque je donne un coup de clé et qu'il ne démarre pas, j'arrête une minute (c'est long) et je réessaye. Dans la majorité des cas, cela marche. Mais le problème n'est pas résolu. J'ai changé la poire à côté du filtre à fioul, il y a apparemment un problème d'air dans le circuit. J'ai testé les bougies de préchauffage, l'une d'elle (déjà changé) n'est pas correctement vissée et me donne une valeur assez différente des autres. Comme je ne peux pas la visser davantage...dilemne. J'ai testé les injecteurs, l'un d'eux a un retour plus important que les autres mais cela ne m'a pas convaincu ( à 174 e l'injecteur... j'ai du mal à me lancer).
Après un autre problème est apparu. Parfois, une perte de vitesse de celui-ci, le kangoo n'avait plus de "pêche" et atteignait difficilement les 90 km en 4ième...
J'en avais marre de tous ces problèmes, je me suis résolu à voir deux mécanos pour passer la valise. Manque de bol, celle-ci était en mise à jour, ils m'ont conseillé de chercher au niveau de la vanne EGR. Alors, je l'ai nettoyée. Elle était effectivement dans un état très limite. Depuis ce problème me semble résolu, merci les gars d'AD.
Le 07/06/2019
Finalement, en mai 2020, je change de véhicule après un peu plus d'une année d'intense activité. Mon kangoo, m'a bien servi, il affiche 214000km au compteur et je n'ai plus eu de problème à part le souci du démarreur qui parfois, ne démarre pas. C'est occasionnel, j'ai pris l'habitude, on dirait que le problème est cyclique. Au bout de 50 démarrages nickel, il bloque un peu. Le problème n'a pas empiré, du coup, ce n'est pas une grosse panne.
Comme je ne m'en sers plus, il est temps de m'en séparer, ce kangoo aura été un bon compagnon de chantier, j'espère qu'il pourra aider quelqu'un d'autre, quelques temps encore.
Le 09/09/2020
