Petite lecture des principaux points :
réforme vite expédié au format pdf
reforme un peu plus détaillé
L'exercice va m'être assez difficile, les générations qui me précèdent vont y perdre leur latin. Dans l'ensemble, la logique est au rendez vous. Par exemple, un compte-goutte s'écrit désormais au singulier, weekend devient tout attaché comme un contrappel... La lecture de ce dernier est d'une étrangeté.
J'apprécie la nouvelle règle des trémas et ne comprend pas la règle du participe passé laisser suivi d'un infinitif?!
Evidemment, quand on joue avec les mots, vous ôtez le charme de quelques espiègleries culturelles, ce n'est pas toujours agréable. Je suis attaché à mon nénuphar. Ce n'est plus d'une grande importance. A l'heure des correcteurs automatiques, la réforme passera tranquillement dans les mœurs.
Et puis, cette réforme, sur quelques points facilement identifiables, elle a plus d'un demi-siècle de retard sinon davantage dans la mesure où elle a été décidée en 1990... Vingt-six années d’intense réflexion... D'ailleurs pour y mettre mon grain de sel, je préfère les chiffres sans trait d'union.
Disons le encore une fois, parce qu'on aime nous imposer le totalitarisme comme si nous avions une prédisposition à fermer notre gueule ; quelle est la génération en pleine action à devoir se coltiner le changement... Ah ça ira, ça ira, ça ira...
reforme un peu plus détaillé
L'exercice va m'être assez difficile, les générations qui me précèdent vont y perdre leur latin. Dans l'ensemble, la logique est au rendez vous. Par exemple, un compte-goutte s'écrit désormais au singulier, weekend devient tout attaché comme un contrappel... La lecture de ce dernier est d'une étrangeté.
J'apprécie la nouvelle règle des trémas et ne comprend pas la règle du participe passé laisser suivi d'un infinitif?!
Evidemment, quand on joue avec les mots, vous ôtez le charme de quelques espiègleries culturelles, ce n'est pas toujours agréable. Je suis attaché à mon nénuphar. Ce n'est plus d'une grande importance. A l'heure des correcteurs automatiques, la réforme passera tranquillement dans les mœurs.
Et puis, cette réforme, sur quelques points facilement identifiables, elle a plus d'un demi-siècle de retard sinon davantage dans la mesure où elle a été décidée en 1990... Vingt-six années d’intense réflexion... D'ailleurs pour y mettre mon grain de sel, je préfère les chiffres sans trait d'union.
Disons le encore une fois, parce qu'on aime nous imposer le totalitarisme comme si nous avions une prédisposition à fermer notre gueule ; quelle est la génération en pleine action à devoir se coltiner le changement... Ah ça ira, ça ira, ça ira...
Le 08/02/2016